Test RF sur des lampadaires violets -lumières noires-avec un compteur EMF__fr
Razatator Light Warrior WWG1WGA
Dans cette deuxieme partie des test seront éffectués sur les fréquences diffusés par ces lampadaires installés "par erreur" partout aux U.S. Qu'est-ce qui est caché dans vos nouvelles réverbères «Smart City»?
Une partie aussi bénigne et banale du paysage urbain que les habitants de la ville peuvent même ne pas les remarquer, les lampadaires sont utiles pour éclaircir une route et pas grand-chose d'autre - du moins vous pourriez penser. De nos jours, les gens sont habitués à l'idée de caméras de vidéosurveillance, même cachées, mais les réverbères ont tendance à se fondre à l'arrière-plan. C'est peut-être pourquoi ils trouvent de nouvelles fonctions dans le monde moderne, avec son fanatisme pour la surveillance. Ces appareils apparemment inoffensifs peuvent héberger n'importe quoi, des microphones et des caméras à la reconnaissance faciale et de la transmission obligatoire de facto 5GWIFI.
Comme l'a déclaré Chuck Campagna, PDG de la société d'éclairage Amerlux, au New York Times: «Nous ouvrons une zone entièrement nouvelle dans les applications et services d'éclairage, y compris la sécurité vidéo et la sécurité publique, la gestion du stationnement, l'entretien prédictif et plus encore.» "Nous avons estimé que pour quoi vous voudriez utiliser ce réseau, c'est de recueillir des informations sur les gens et la planète." Éclairage dans une ville intelligente
En avril 2018, Singapour a annoncé qu'elle exécuterait un programme pilote «lampadation en tant que plate-forme», dans lequel une variété de capteurs, y compris des caméras liées à la technologie de reconnaissance faciale, seraient attachés à l'éclairage de rue. Govtech, le département en charge du projet, a déclaré à Reuters que La technologie serait utilisée pour effectuer des «analyses de foule» et aider à des enquêtes sur le terrorisme.
Selon l'ancien haut fonctionnaire de la ville de l'État de la ville, Peter Ong, l'objectif est de relier chaque lampadaire à un réseau de capteurs. En octobre, il a été annoncé que Singapore Technologies Engineering (Stengg) avait remporté la tentative de fournir la technologie, et un programme de lampadaire intelligent similaire commencerait à Hong Kong, où 50 des lumières devraient être installées d'ici juin. La conception de lampadaire de Hong Kong contient certainement des caméras de surveillance, mais il n'est pas clair s'ils seront également liés à des programmes de reconnaissance faciale.
Les lampadaires intelligents de Stengg sont conçus simplement pour être Un thread dans un réseau Internet des objets plus large, dans lequel pratiquement chaque objet est connecté à un réseau partagé.
Dans le cadre d'un tel système, les lampadaires sont bien plus que les illuminateurs de rue; Ce sont des appareils polyvalents utilisés pour surveiller le paysage urbain. La conception intègre des capteurs environnementaux, un hotspot WiFi, un affichage d'infodivertissement, un radar pour la surveillance des véhicules et, bien sûr, un équipement pour «la sécurité publique et la surveillance de la circulation».
Naturellement, cet aspect du réseau est minimisé; Une vidéo promotionnelle du système Internet des objets de l'entreprise ne mentionne pas du tout la surveillance de la population, et une brochure gouvernementale de Hong Kong.
Singapour est un pays à succès mais bien connu pour sa discipline sociale hautement contrôlée.
Les pays occidentaux permettraient-ils à une telle technologie potentiellement invasive d'être plantée dans chaque rue?
Dans la revue des performances sur le développement durable de Stengg en 2018, le PDG Vincent Chong a déclaré que la société a été embauchée pour permettre l'éclairage de rue intelligente dans les villes du Canada, des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de la Nouvelle-Zélande et d'Israël, ainsi que pour d'autres projets d'infrastructure à travers le monde. Surveillance urbaine
Il n'est pas nécessaire de créer une grille intelligente entière afin d'installer la technologie de surveillance dans les réverbères. Dès 2007, l'idée d'obtenir des caméras aux réverbères a été discutée au Royaume-Uni; En 2010, un système de microphones a été déployé sur des réverbères dans plusieurs villes britanniques. Les microphones de grande puissance ont été conçus pour reprendre des voix en colère ou en détresse et des sons suspects, déclenchant automatiquement une caméra liée pour zoomer sur la source du bruit. Une technologie similaire a été utilisée dans plusieurs villes américaines, notamment New York, qui fixent des microphones aux lampadaires dans les quartiers à haut crime.
Les capteurs Shotspotter ne ramasseraient que des bruits bruyants et suspects, tels que des coups de feu ou des cris, puis envoient une alerte au service de police. Bien que les données semblent avoir été moins que fiables, elle n'a pas empêché la police de tenter de les utiliser comme preuve dans les procès criminels.
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